[ … ] Également présente au premier gala, Claire de Monteil a depuis vu sa carrière se déployer (on se rappelle de ses débuts inattendus à la Scala). La voix s’est élargie, gagnant aussi en puissance sans rien perdre en aigu. Elle nous offre une splendide interprétation de l’air d’entrée de Leonora dans Il trovatore (un ouvrage qu’elle a chanté à travers l’Italie l’année dernière). Elle démontre une nouvelle fois ses affinités avec la musique de Kurt Weill avec la glaçante chanson « Je ne t’aime pas ». [ … ]

                                                           Forum Oper, Jean-Michel Pennetier https://www.forumopera.com/spectacle/gala-odb-opera-paris-2/

[ … ] cette distribution, autour d’Anna Netrebko, s’est montrée le plus souvent d’un haut niveau avec des seconds rôles parfaitement tenus, de la soprano Claire de Monteil en Inès, une des voix lyriques à suivre de la nouvelle génération française [ … ]

Le point de vue d’Alain Duault, opera-online.com

 [ … ] Côté féminin, la voix sonore et bien timbrée de Claire de Monteil ne passe pas inaperçue en dépit de la brièveté de son rôle. [ … ]

Christian Peter, forumopera.com

 [ … ] La jeune soprano française Claire de Monteil (Inez) a, elle, insufflé à la confidente une sensibilité exquise. Son timbre rond et puissant, son beau phrasé dans ses brèves interventions (surtout le duo d’ouverture avec Leonora) apportèrent une touche de lumière juvénile bienvenue au cœur des ténèbres. Une perle discrète mais essentielle. [ … ]

Emmanuel Andrieu, classiquenews.com

 [ … ] Du côté des seconds rôles, la distribution se montre homogène et soignée. Claire de Monteil, jeune soprano française à l’avenir prometteur, campe une Ines lumineuse et solide, déjà remarquée sur la scène internationale (elle campait rien moins que le rôle-titre de Médée à la Scala en janvier 2024 !) [ … ]

Aurélie Mazenq, premiereloge-opera.com

 [ … ] L’interprétation de Claire de Monteil, dans le rôle d’Inès, suscite un grand intérêt ; elle possède un instrument important qui s’impose par sa musicalité et sa facilité. [ … ]

Marco Faverzani, operalibera.net

“Il semble que le Mainfrankentheater de Würzburg n’ait pas eu de chance, car la soprano initialement prévue est tombée malade à la dernière minute. La metteuse en scène Agnessa Nefjodov a donc dû jouer la comédie, tandis que la chanteuse française Claire de Monteil, appelée à la hâte, chantait depuis la fosse d’orchestre. Et comment ! Elle a rapidement fait oublier cette solution scénique d’urgence et a enthousiasmé le public avec son charisme de grand format et sa volonté de création inconditionnelle. Un portrait saisissant du rôle, loin de la scène.”

BR-KLASSIK: Die ganze Welt der Klassischen Musik https://www.br-klassik.de/aktuell/news-kritik/kritik-medea-oper-wuerzburg-mainfrankentheater-100.html

“Un défi supplémentaire pour Claire de Monteil était de devoir s’approprier ce rôle dans une autre langue que celle qu’elle avait initialement étudiée. Elle y parvient de manière impressionnante.”“Peu de choses restent à désirer en termes de dynamique et de phrasé.”“Ce qui est remarquable, c’est qu’elle ne se contente pas de jouer prudemment, mais qu’elle sait aussi apporter des accents spontanés et individuels.”“Son interaction avec ses partenaires de scène et les figurants est naturelle et convaincante.”

Wim Wiemert

 [ … ] Quant à Claire de Monteil, elle incarne de manière envoûtante les facettes contradictoires de Médée, la meurtrière d’enfants qui se venge d’avoir été abandonnée par son mari Jason. Large et puissante, dotée d’un grand volume et d’un timbre velouté, elle a fait preuve de son grand potentiel vocal de manière très sensible, avec un legato fluide, sûr et bien soutenu, des aigus les plus hauts aux graves les plus étonnamment colorés. Elle a maintenu la tension de la première à la dernière mesure de façon parfaite, concentrée et avec une excellente condition physique. [ … ]

https://www.mainfrankentheater.de/theater/menschen/claire-de-monteil/

forumopera.com

Concert Claire de Monteil et Aymeric Gracia – Bagneux

Un peu de soleil dans ce monde de brutes !

Claire de Monteil avait créé la surprise à Milan en remplaçant au pied levé la titulaire du rôle de Médée. Nous la retrouvons ce soir pour un concert entre amis et presque en famille dans l’église de Bagneux où elle s’est déjà produite à plusieurs reprises accompagnée d’Aymeric Gracia, violoniste, pianiste, compositeur et chef d’orchestre !

Voir le site Internet

“Ses moyens et sa technique lui permettent de rendre justice à la dimension belcantiste de l’ouvrage, si souvent négligée. L’air d’entrée, et surtout sa périlleuse cabalette, sont bien menés. Son « D’amor sull’alli rose » est plein de délicatesse, avec de beaux piani, et la chanteuse rajoute même un contre ut dans le « Miserere ». Enfin, le « Tu vedrai » (souvent coupé) la montre à la hauteur de la virtuosité exigée, avec là encore deux beaux contre ut.”

Forum Opera Jean-Michel Pennetier https://www.forumopera.com/spectacle/verdi-il-trovatore-lucques/

radio classique

Claire de Monteil est l’invitée du journal du classique

Claire de Monteil est l’invitée du Journal du Classique vendredi à 20 heures

A seulement trente-trois ans Claire de Monteil a fait ses débuts à la Scala de Milan dans des circonstances exceptionnelles. Le mois dernier elle a en effet chanté le rôle-titre de Médée de Cherubini, en remplacement de la titulaire Marina Rebeka qui était souffrante.

Une performance d’autant plus remarquable, qu’au même moment Claire de Monteil chantait à l’opéra de Livourne un autre rôle important : celui de Léonore dans Le Trouvère de Verdi.

Des études de chant à Genève
Elle viendra nous parler de cette expérience, ainsi que de sa jeune carrière qui aurait pu d’ailleurs être consacrée au tennis, puisque Claire de Monteil est titulaire d’un diplôme d’enseignement du tennis.

Elle évoquera également ses études de chant qu’elle a effectuées à Genève et à Philadelphie ainsi que de ses années passées à la Maîtrise des Hauts-de-Seine.

Jean-Michel Dhuez

Retrouvez le journal du classique du lundi au vendredi à 20h

forumopera.com

Claire de Monteil : « Je n’en reviens toujours pas ! »

Claire de Monteil a fait des débuts aussi inattendus que triomphaux dans Médée à La Scala il y a quelques semaines. Récit d’une success story, et rencontre avec une des sopranos les plus prometteuses de sa génération.


1- Les années d’apprentissage
Votre récent triomphe à la Scala de Milan en janvier 2024 nous a tous impressionnés et nous avons voulu mieux vous connaître. À l’aune de votre succès, on mesure mieux votre parcours. L’amour de la musique et du chant est apparu très tôt dans votre vie ?

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“Marina Rebeka souffrante est remplacée au pied levé par Claire de Monteil, grande voix, timbre de velours et superbe legato. Après une première aria un peu hésitante, la soprano française prend confiance et termine en force, portée par l’ovation du public.”

Classica.fr par Damien Colas Gallet https://classica.fr/medee-a-la-scala-un-hommage-a-callas/

“le soprano aura fait le 23 janvier d’authentiques débuts scaligères, scéniques et officiels cette fois, en remplaçant à nouveau Marina Rebeka”

Forum Opéra par Jean-Michel Pennetier https://www.forumopera.com/breve/vrais-debut-de-claire-de-monteil-a-la-scala/

“C’est un des jeunes espoirs les plus remarquables de sa génération : face à l’indisposition de Maria Rebeka qui doit interprèter le rôle-titre de la Médée de Cherubini à la Scala de Milan, Claire de Monteil a été appelée à la rescousse pour la générale et a chanté cette partition meurtrière en avant-scène tandis que la titulaire mimait sur scène, sans avoir pu bénéficier d’une seule répétition avec orchestre. Félicitée par sa consoeurs aux saluts, le soprano a reçu un accueil enthousiaste du public scaligère dont on sait qu’il peut se montrer particulièrement sévère à l’occasion. Des quasi débuts d’excellent augure !”

Forum Opéra par Jean-Michel Pennetier https://www.forumopera.com/breve/presque-debuts-de-claire-de-monteil-a-la-scala/

ODB-Opéra

Claire de Monteil, soprano qui rayonne.

Lorsqu’en mars dernier je l’ai sollicitée pour le gala des 20 ans de notre site j’ai eu, au bout du fil, un coup de foudre amical instantané pour Claire. Lorsque je l’ai entendue salle Rossini j’ai pensé immédiatement à Régine Crespin.

 

Claire de Monteil est née dans une famille de musiciens dont la figure tutélaire est Edmund Pendleton (1899-1987), cet organiste, chef de chœur, critique musical et compositeur américain formé par les plus grands : Paul Dukas, Charles Münch, Pierre Monteux et Igor Markevitch. De 1935 à 1975, il fut titulaire des orgues de l’American Church of Paris où il dirigeait aussi les chœurs. Ses amis s’appelaient Joyce, Picasso et Hemingway. Claire chanta sa Cantate de joie pour son Master à la Haute Ecole de musique de Genève.

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